Bien entendu, le premier à être concerné est le futur papa. Tout comme vous, il trépigne d’impatience. S’il n’est pas encore dans le secret des dieux, privilégiez un moment d’intimité pour le lui annoncer. Magnifique souvenir en perspective. Il se peut aussi que cela le laisse sans voix. Ménagez-le et laissez-lui le temps d’assimiler la nouvelle. Mais surtout, réservez-lui l’exclusivité, préparer l’arrivée de bébé est avant tout une affaire de couple.
Peut-être que ce futur bébé n’est pas le premier enfant de la famille. Les aînés se rendent vite compte que quelque chose se trame. Ne leur cachez pas votre grossesse. Expliquez-leur avec des mots simples. Par contre, si vous n’êtes pas encore sûre du bon déroulement de celle-ci, attendez idéalement la fin du troisième mois.
Vos parents, beaux-parents et grands-parents vont également vivre cette annonce intensément. Le choix du juste moment vous revient. Que vous souhaitiez l’annoncer au plus vite ou plutôt attendre que les risques de fausse couche soient écartés, ils seront de toute façon ravis de vous témoigner leur enthousiasme (préparez-vous aux longues accolades).
Pour l’annonce au reste de la famille (frères, sœurs, cousins…) et aux amis, laissez-vous guider par vos sentiments et votre bon sens. Pourquoi ne pas les réunir pour leur faire la surprise ?
S’il est généralement d’usage d’attendre la fin du premier trimestre avant d’annoncer votre grossesse à votre employeur, n’attendez pas non plus qu’il l’apprenne par voie détournée. Annoncez-la sobrement et faites-lui part de la date d’accouchement initialement prévue. Il pourra ainsi songer l’organisation de la reprise de votre travail lors de votre congé de maternité. Mieux encore, discutez-en avec lui. Enfin, confirmez toujours votre grossesse à l’aide d’un certificat médical pour vous mettre à l’abri de toute mauvaise surprise.
Et pour ceux que vous auriez oubliés ? Rassurez-vous, vos proches auront certainement vendu la mèche !