Des chercheurs travaillant sur la procréation médicalement assistée ont constaté que les femmes du groupe sanguin de type O sont deux fois moins fertiles que les autres.
Une étude américaine confirme ces observations.
Quelque 560 femmes suivant un traitement pour la fertilité à l’Albert Einstein College of Medicine de New York et à l’Université de Yale ont été suivies. Les chercheurs sont arrivés à leurs conclusions en mesurant le taux d’hormone FSH (hormone folliculostimulante), responsable du déclin de la réserve d’ovules et de leur qualité, présentes dans le sang des futures mamans.
Les taux les plus élevés ont été observés chez les femmes de groupe sanguin de type O. Les femmes de groupe sanguin de type A semblent quant à elles être moins susceptibles de présenter un taux de FSH élevé.
Les chercheurs souhaitent cependant tempérer ces constatations en rappelant que, plus que le groupe sanguin, c’est l’âge de la future maman qui détermine la fécondité.